Le voyage en avion a longtemps été synonyme de liberté et d’excitation. Pourtant, ceux qui prennent aujourd’hui un billet “low cost” chez Ryanair, easyJet, Vueling ou Transavia vont se heurter à une autre réalité : le vrai prix n’est pas celui affiché en gros sur les moteurs de recherche. Un siège près du hublot ou dans la rangée de devant, ça fait rêver… Mais est-ce vraiment un luxe indispensable ? Et surtout, faut-il payer pour s’offrir ce privilège ou laisser la compagnie décider du destin de ses fesses ? De la stratégie marketing des compagnies aériennes au casse-tête du choix logistique, cette question cristallise aussi bien la quête d’économie que le confort du voyageur moderne. Dans ce dossier, plongez dans l’envers du décor du “choix du siège” : fausses peurs, coûts cachés, astuces de vieux routard et constats parfois surprenants, les réponses sont bien loin des idées reçues. Avant votre prochain aller-retour Paris-Barcelone, mieux vaut savoir à quoi s’attendre.
Comprendre les tarifs aériens : Du billet d’appel à l’avalanche d’options
L’époque où réserver son billet d’avion se résumait à choisir entre Économique, Affaires ou Première semble révolue. Aujourd’hui, s’offrir un Paris-Madrid chez Vueling ou un Nice-Oslo chez Norwegian, c’est s’embarquer dans la jungle des tarifs segmentés, où l’option “siège réservé” côtoie le choix du bagage ou de la collation. La classe Economy, jadis symbole d’un certain égalitarisme du ciel, s’est fragmentée en sous-classes : Light, Standard, Flex, et parfois même Ultra-Low ou Super-Light. Chez Air France, le billet Light en Économique impose désormais de payer pour toute sélection précise de siège, conséquence directe d’une concurrence féroce menée par les compagnies à bas coût (voir l’actualité récente).
Pourquoi autant de subtilités tarifaires ? Parce que pour les compagnies comme Ryanair ou Wizz Air, séduire par un prix plancher est la stratégie reine. Le coût parfois dérisoire du billet ne comprend que l’essentiel : un siège attribué au hasard, sans bagage en soute ni collation, et avec une flexibilité proche du néant. Chaque ajout (valise, priorité à l’embarquement, choix du siège) devient un supplément, qui, cumulé, fait vite grimper la facture.
- Économie Light (ou équivalent) : siège assigné par défaut, aucun bagage en soute gratuit, options payantes diverses.
- Économie Standard : bagage en cabine inclus, choix du siège possible avec supplément.
- Économie Flex : options flexibles, bagage en soute compris, choix gratuit du siège pour certains tarifs.
- Classes supérieures : services et confort inclus (compris le choix du siège).
| Compagnie | Tarif d’entrée | Siège réservé inclus ? | Prix moyen choix siège | Bagage cabine inclus ? |
|---|---|---|---|---|
| Ryanair | très bas | Non | 10-25€ | Non |
| easyJet | bas | Non | 8-20€ | Parfois |
| Vueling | bas | Non | 10-18€ | Parfois |
| Air France (Light) | moyen | Non | 12-30€ | Oui (cabin) |
| Volotea | bas/moyen | Non | 8-16€ | Parfois |
Dans ce contexte, la vigilance devient impérative lors de chaque étape de la réservation. La tentation de “sécuriser son confort” est grande, mais faut-il obligatoirement passer à la caisse pour voyager l’esprit tranquille ? Certains s’en sortent sans frais, d’autres cèdent à la pression marketing. Le système est pensé pour tester votre résistance… ou votre expérience.
Pièges de la réservation en ligne : Comment éviter les frais cachés pour un simple siège ?
Dès le billet acheté, la danse des options débute. Sur les sites de Ryanair, easyJet ou Wizz Air, chaque étape du tunnel d’achat ressemble à un parcours semé d’embûches, où la peur de la mauvaise surprise vous fait cliquer plus vite que votre ombre. Qui n’a jamais été tenté de céder à la petite pop-up signalant “restez groupés !” sous-entendant que, sans payer, vous vous retrouverez éparpillés dans tout l’avion ? Or, à l’arrivée, un siège sera forcément attribué à chaque voyageur, même sans rien payer de plus.
Ce qui fait peur, c’est le soupçon d’une loterie cruelle. Pourtant, les compagnies ont tout à gagner à placer un même groupe ensemble, notamment pour éviter le chaos à bord. Des études récentes, telles que celle du magazine britannique “Which?”, indiquent que 90 à 94 % des passagers non payants sont finalement assis côté à côte sur des lignes comme easyJet, British Airways ou Jet2 (voir l’article).
- Payer n’assure pas d’être à côté de sa famille dans 100 % des cas.
- La sélection manuelle reste la meilleure option pour besoins spécifiques (bébé, jambes longues).
- Réclamation à l’embarquement souvent possible en cas de problème.
- Certains vols (notamment Ryanair ou Wizz Air) sont moins conciliants en pratique.
- Le site Flytrippers synthétise bien ces pièges en ligne.
| Frais cachés potentiels | Moyenne observée | Contournement proposé |
|---|---|---|
| Emplacement fenêtre/issue | +12-30€ | Attendre l’enregistrement |
| Siège côte à côte | +8-15€/personne | Enregistrement anticipé |
| Check-in aéroport | Jusqu’à 55€ (Ryanair) | Enregistrement en ligne obligatoire |
Les voyageurs les plus aguerris anticipent ces manipulations. Pour eux, ignorer la case “réserver son siège” s’accompagne de quelques techniques bien rodées : enregistrer son vol dès l’ouverture (souvent 24 ou 48h avant), arriver suffisamment en avance et discuter diplomatiquement avec l’agent au comptoir sont autant de petits rituels pour éviter le piège du siège payant. Pour un groupe ou une famille, la cohésion est presque toujours assurée… sauf sur certains low cost intransigeants.
Le mirage du siège parfait : fenêtre, couloir ou issue de secours ?
Qui n’a jamais fantasmé sur ce siège hublot pour observer la Terre s’éloigner ou sur la rangée issue de secours pour tendre les jambes avec grâce ? Mais tous ces “bons plans” valent-ils vraiment le supplément facturé par Volotea, Norwegian ou Eurowings ? Ici, le principe est simple : plus de place, plus de lumière, plus de silence… mais pour un coût qui, multiplié par personne et par vol, rivalise parfois avec une bonne table à destination.
La réalité rattrape vite le rêve. Ceux qui raflent systématiquement la fenêtre oublient parfois qu’un vol de nuit annule rapidement l’intérêt, que la place “issue” impose souvent de ne pas garder son sac à ses pieds, ou encore que s’asseoir tout devant accroît la proximité avec les toilettes ou les pleurs des bébés.
- Fenêtre : idéale pour dormir, mais accès aux toilettes difficile.
- Couloir : mobilité maximale, mais réveils fréquents de vos comparses.
- Issue de secours : place royale pour les jambes, mais pas pour tous (mineurs et PMR exclus).
- Avant de l’appareil : débarquement éclair, mais bruit ambiant plus important.
- Derrière : atmosphère plus détendue, mais dernier servi pour les plateaux-repas.
| Emplacement | Avantages principaux | Inconvénients clés | Prix moyen (supplément) |
|---|---|---|---|
| Fenêtre | Vue, tranquillité | Accès limité | +10-25€ |
| Couloir | Déplacements faciles | Passage incessant | +8-20€ |
| Issue secours | Espace jambes | Responsabilité accrue | +20-50€ |
Face aux arguments rationnels, l’émotion guide souvent le choix. C’est là que les compagnies font leur beurre : la volonté d’optimiser chaque minute de vol pèse lourd sur la carte bancaire. Avant de sortir le portefeuille, poser la question de la vraie nécessité s’impose… et invite à relativiser le “mirage” du siège parfait.
Pour comparer différentes façons d’optimiser vos dépenses, jetez un œil aux alternatives de transport sur ce dossier bus nocturne.
Économies réelles : combien coûte le choix du siège sur les compagnies à bas prix ?
La réservation d’un siège spécifique sur les compagnies à bas coût se paie parfois très cher. Un Paris-Rome sur Ryanair à 29€ ? Ajoutez 15€ pour le siège côté hublot, 10€ pour un bagage cabine et 7€ pour l’embarquement prioritaire : la facture a doublé avant même le décollage. De son côté, easyJet applique une fourchette de 8,99€ à 31,99€ pour une simple sélection de place sur les vols européens, Wizz Air demande 15 à 22€, tandis que Vueling facture entre 10 et 18€ selon la demande (plus d’infos ici).
Sur le long courrier et chez Air France, le système évolue : le choix reste gratuit pour certains statuts ou formules Flex, mais l’option devient systématiquement payante pour les tarifs Light. L’essentiel à retenir : la majorité des compagnies allouent sans supplément une place “aléatoire” lors de l’ouverture de l’enregistrement en ligne, 24h à 48h avant le vol. Les familles voyageant avec enfants bénéficient, dans la majorité des cas, d’un placement groupé systématique pour raisons légales.
- Ryanair : supplément pour tout choix, attribution automatique sinon.
- easyJet : 8,99-31,99€ selon la zone, attribution auto groupe très courante.
- Transavia : 7-20€ selon l’emplacement, gratuité exceptionnelle selon la promo.
- Jet2 et Norwegian : politique proche de l’attribution gratuite (sauf saison de forte affluence).
- Vueling et Volotea : gamme proche de celle d’easyJet (10-18€).
| Compagnie | Grille de tarifs sièges (€/vol) | Possibilité attribution gratuite groupe | Exceptions/Restrictions |
|---|---|---|---|
| Ryanair | 6-25 | Rare | Strict pour familles/groupes |
| easyJet | 8,9-32 | Oui (>90%) | Hors période forte |
| Vueling | 10-18 | Oui | – |
| Air France Light | 12-30 | Oui, pour enfants | Option sinon payante |
Savoir dire non à la “suggestion automatique” des compagnies, c’est donc le premier geste pour sauvegarder son budget vacances. Pour les familles, le taux de placement spontané côte à côte frôle généralement les 90 %, y compris sur les lignes réputées impitoyables : une statistique qui donne à réfléchir avant d’activer l’option payante. Retrouvez d’autres astuces sur Flytrippers.
Règles d’or : conseils d’initiés pour voyager sans frais inutiles
Les plus grands voyageurs ont développé tout un savoir-faire pour éviter de payer le choix du siège tout en maximisant confort et tranquillité, une recette qui passe souvent de bouche à oreille entre passionnés du Routard.
- Enregistrez-vous dès l’ouverture (souvent 24 ou 48h avant le vol) pour maximiser vos chances de choix spontané.
- Sur easyJet, Vueling, Air France et Jet2, les groupes/familles sont quasi systématiquement placés ensemble automatiquement (infos Air France).
- Sur Ryanair et Wizz Air, plus d’aléa : anticiper, ou passer par le comptoir à l’aéroport pour demander un regroupement.
- Pour les sièges “jambes longues”, tentez votre chance à la porte d’embarquement ou échangez une fois à bord avec le personnel.
- Evitez les frais de check-in aéroport coûteux (jusqu’à 55€ sur Ryanair) en effectuant l’enregistrement en ligne (lien utile).
| Astuce | Bénéfice réel | Limitations |
|---|---|---|
| Enregistrement anticipé | Place côte à côte souvent garantie | Basse saison = plus de places |
| Demande à l’embarquement | Changement de place possible gratuitement | Sous réserve de disponibilité |
| Éviter supplément siège | Économie 10-30€/pers./trajet | Peut impliquer plus d’attente |
Au fil des trajets, il devient presque un sport de “griller le système” pour retrouver ses proches et gagner en confort sans surcoût. À force d’expérience, ces réflexes permettent d’affronter sereinement les nouveautés tarifaires toujours plus créatives des compagnies low-cost. Pour d’autres conseils futés, consultez la page Coach de Voyage.
Attribution automatique des sièges : les compagnies jouent-elles vraiment la carte du hasard ?
Nombreux sont les voyageurs à penser que ne pas payer forcerait la compagnie à disperser systématiquement les membres d’un groupe ou d’une famille. Or, dans la réalité, les algorithmes de placement favorisent la proximité, sauf exception notable chez Ryanair ou Wizz Air, où le système peut vraiment séparer un couple ou une famille (histoire de forcer une dépense…).
La législation européenne impose aux compagnies d’asseoir au minimum les enfants près d’un parent. Dans l’immense majorité des cas, même sans avoir payé, parents et enfants sont placés ensemble, quitte à déplacer d’autres passagers. De nombreux témoignages (voir cet article pratique) rappellent cependant qu’une demande polie à l’aéroport résout la majorité des situations.
- Pour les groupes adultes : le placement côte à côte spontané atteint plus de 90 % chez easyJet et Jet2.
- Pour les familles : obligation réglementaire de ne pas séparer parents et enfants mineurs.
- Exceptions : Ryanair, Wizz Air (séparation statistiquement plus fréquente).
| Compagnie | Placement spontané côte à côte (%) | Particularité |
|---|---|---|
| easyJet | 93 | Placement automatique groupe |
| Jet2 | 90 | Famille/groupes prioritaires lors de l’enregistrement |
| British Airways | 94 | Système placement intelligent |
| Ryanair | 60-70 | Tendance à séparer groupes |
Un point d’attention : en haute saison ou pendant les week-ends et grands départs, le placement côte à côte non payé devient plus aléatoire si l’enregistrement tarde. Planifier en conséquence devient un atout : à la clé, l’économie d’un joli pactole, surtout sur les liaisons fréquentes. La flexibilité reste la clef du succès.
Sièges payants : dans quels cas le supplément vaut-il vraiment le coup ?
Malgré l’attrait de l’économie, certains profils de voyageur tirent pleinement parti d’un supplément siège payant. Les passagers d’affaire qui enchaînent les liaisons express, les familles souhaitant embarquer et sortir au plus vite, ou ceux qui privilégient le confort (grandes jambes, mobilité réduite) verront dans l’option payante un investissement judicieux. Sur les compagnies comme Air France ou Norwegian, payer peut s’avérer aussi une question de tranquillité d’esprit pour les trajets longs.
- Voyageurs d’affaires : sortir de l’avion le plus vite possible pour attraper un RER ou un taxi.
- Personnes très grandes : seul un siège “issue de secours” évite des crampes interminables.
- Familles avec bébés : demande de berceau (bassinet), zone calme à l’avant.
- Besoin spécifique (problème de santé, mobilité) : priorité à l’organisation sans stress.
| Type de voyageur | Situation justifiant le siège payant | Alternative gratuite |
|---|---|---|
| Grands gabarits | Rangée issue, plus de place | Rien d’équivalent |
| Famille avec bébé | Demander berceau/bassinet, zone calme | Placement automatique partiel |
| Groupe pressé | Avant de l’avion, débarquement express | Zone arrière gratuite/patiente |
| Voyageur solo relax | Peu d’intérêt à payer | Aléa total, mais faible enjeu |
Pour la majorité silencieuse des voyageurs à budgets serrés, l’économie sur le siège reste le meilleur investissement, le gain réel n’étant jamais garanti sinon… sauf besoin spécifique. Retrouvez ces conseils appliqués sur ce dossier transport.
Expériences vécues et anecdotes : la vraie vie des passagers entre économies et déconvenues
Qui n’a jamais ri (jaune) en découvrant qu’il ou elle s’est vu attribuer un siège au fond, coincé entre la paroi et un inconnu geignard ? Pourtant, bien souvent, au-delà des quelques désagréments, les attributions automatiques réservent aussi de bonnes surprises.
Dans les faits, de nombreux groupes ou familles se sont retrouvés côte à côte sans supplément, parfois grâce à la bienveillance d’une hôtesse ou à la flexibilité d’un autre passager heureux d’échanger son siège. Un voyageur relatant son expérience en famille souligne : “En partant avec ma fille de 5 ans avec Volotea, nous étions dispersées à l’enregistrement. J’ai demandé calmement à l’accueil, et l’agent m’a tout de suite proposé un regroupement, sans aucun coût additionnel.”
- L’entraide entre passagers reste monnaie courante.
- Le personnel au sol ou de bord dispose souvent d’un pouvoir de réajustement.
- Payer pour un siège n’exclut pas d’être déplacé(e) à l’embarquement, pour cause opérationnelle.
| Anecdote | Situation initiale | Solution trouvée |
|---|---|---|
| Enfant placé seul | Siège séparé | Regroupement spontané à l’embarquement |
| Couple dispersé sur Ryanair | Sièges éloignés attribués automatiquement | Échange spontané avec voisins à bord |
| Petit groupe sur easyJet | Attribution auto, tous ensemble | Sans frais, aucun effort |
Entre la peur de se retrouver séparé et l’envie de réaliser des économies, l’expérience forge les habitudes et l’assurance du voyageur avisé. D’autres histoires et conseils sur le site de Yaquoiavoir.
Outils, ressources pratiques et FAQ pour bien choisir son siège en 2025
Pour aller plus loin, les applications mobiles et comparateurs en ligne rivalisent d’ingéniosité pour accompagner le voyageur moderne. SeatGuru, par exemple, propose des schémas détaillés de chaque appareil, tandis que le site British Airways permet de visualiser en détail la position des sièges selon la classe de réservation. D’autres plateformes, telles que KAYAK ou Marie Claire, publient des guides comparatifs de tarifs et bons plans.
- Yaquoiavoir – Guide tarifaire siège
- Choisir sa place sans frais
- Alternatives économiques au choix du siège
- Pourquoi payer siège/bagage ?
- Applications : SeatGuru, App in the Air, Hopper pour alerter à l’ouverture de l’enregistrement.
| Outil | Fonction principale | Avantage utilisateur |
|---|---|---|
| SeatGuru | Plan des sièges | Vue idéale/confort, éviter mauvaise place |
| App in the Air | Gestion enregistrement | Alerte ouverture, optimisation |
| KAYAK | Comparateur tarifs sièges | Éviter suppléments cachés |
Bien s’informer permet de désacraliser le choix du siège tout en optimisant le rapport plaisir/prix. Dans cette quête de bons plans, l’anticipation reste la meilleure alliée, à compléter des dernières nouveautés publiées sur les sites de référence.
FAQ : Choix de siège et billets low cost, questions fréquentes
-
Est-on vraiment obligé de payer pour s’asseoir dans l’avion ?
Non, un siège est toujours attribué même en cas de réservation au tarif de base. Les suppléments servent à choisir l’emplacement précis. -
Comment maximiser ses chances d’être placé à côté de ses proches sans payer ?
S’enregistrer le plus tôt possible, voyagez sur la même réservation et sollicitez poliment le personnel d’embarquement en cas de séparation. -
Le siège payant vaut-il le coup pour des vols de moins de deux heures ?
Sauf besoin particulier (enfant, jambes longues), l’intérêt est mineur sur les courts trajets. Préférez cette option sur les long-courriers si nécessaire. -
Que faire si l’attribution automatique m’éloigne de mes enfants ?
Demander un changement à l’enregistrement ou à l’embarquement : la législation oblige à asseoir au moins un parent avec chaque enfant. -
Puis-je échanger mon siège à bord ?
Très souvent, avec l’accord du personnel, il est possible d’échanger avec un autre passager, surtout si la situation familiale ou médicale l’impose.
